Je viens de lire ce que tu as écrit au sujet de Nathalie, je crois que la pression est en train de la rattraper pauvre cocotte. Je la prendrais dans mes bras et j'essaierais de la rassurer si j'étais à la place de Judith ou d'Amélie. Cette année les filles ne veulent tellement pas pleurer et faire de grosses crises, qu'elles vont toutes finir par craquer à un moment donné. C'est normal de pleurer quand on est dans un contexte comme OD, seule, loin de sa famille et de ses amies et d'être quelques fois la préférée, quelques fois la rejet....