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STAR ACADÉMIE
La recette du succès des galas
Michelle Coudé-Lord
Le Journal de Montréal
13-04-2009 | 08h25




Le réalisateur Jean Lamoureux, l’un des grands responsables du succès des galas du dimanche soir, est très fier de cette quatrième édition de Star Académie.


«Cette grande finale sera festive et se terminera dans l'apothéose après la saison de galas que nous venons de vivre. Nous allons mettre le paquet», promet Jean Lamoureux, le metteur en scène des galas du dimanche soir de Star Académie.

Le magicien de l'image qu'est le réalisateur Jean Lamoureux, bien appuyé cette année par Pierre Séguin, Geneviève Dorion-Coupal et Karine Arsenault, croit que cette quatrième édition de Star Académie a montré la grande maturité d'une équipe qui se connaît bien.

«Les gens sont surpris qu'on puisse faire de si gros shows en si peu de temps. Mais tout cela est possible parce que nous sommes la même équipe de-puis quatre ans à travailler sur ce plateau. On se connaît parfaitement, donc on peut livrer beaucoup en peu de temps. Et nous sommes très audacieux», explique fièrement le réalisateur.

Il souligne que tous les académiciens de cette année avaient beaucoup de talent et des personnalités fortes.

«C'est de la belle jeunesse qui nous inspire. Nous sommes tellement loin du no future, ici sur le plateau de Star Académie.»


De grands noms

Jean Lamoureux croit que les recherchistes ont fait un travail hors pair cette année avec ces nombreux invités internationaux; ajoutez à cela la participation d'un René Angélil et tous les ingrédients sont là pour faire une émission gagnante.

«Et tous ces grands artistes ont été hyper généreux. Roger Hodgson, ex-star de Supertramp, m'appelait chez nous tous les matins pour parler de sa participation à notre plateau de Star Académie et de son choix de chansons. Il était hyper sympathique. On parle tout de même ici de Supertramp», confie le réalisateur.

Les Bryan Adams, Céline Dion, Francis Cabrel, James Taylor, tous des stars qui ont participé avec joie à cette édition de Star Académie.

«Et Julie Snyder la productrice était en feu cette année et quand Julie est en feu...ça veut dire qu'il faut bien se tenir, ça va être big et dites-vous bien qu'avec elle, tout l'argent est mis à l'écran», ajoute Jean Lamoureux.

Que pense maintenant le milieu culturel québécois de Star Académie?

«On ne nous regarde plus de haut, je crois. Au Québec, il faut toujours faire nos preuves dix fois plus qu'ailleurs. On est comme on est comme peuple. Ce n'est pas une critique. Les Québécois travaillent toujours très fort pour se faire respecter. On est durs à gagner», exprime le réalisateur, qui rêverait de faire de tels plateaux télévisuels à la télévision américaine.

«Quand je regarde American Idol, je me dis que ce serait plus facile de faire une telle émission. Je serais en vacances. Star Académie en donne plus aux téléspectateurs. Mais ça doit être le fun de faire une émission regardée par 24 millions de personnes. Ça doit être cool.»


Aller encore plus loin

Il dit craindre toujours de ne pas avoir d'idées.

«Je me surprends moi-même et l'équipe tripe fort. Donc, nous sommes une belle gang de rêveurs, désireuse d'en mettre plein la vue. C'est l'fun qu'on puisse faire cela à la télé au Québec. C'est un beau privilège.»

Le réalisateur s'est gâté particulièrement cette année, en utilisant des lasers pour un des numéros avec Roger Hodgson.

«Nous nous sommes vraiment éclatés et des effets de laser au petit écran, j'avais jamais vu cela.»

Dimanche soir, au programme, il y aura un medley de Francis Cabrel avec les 14 académiciens; James Taylor, qui a vendu 40 millions d'albums de par le monde, chantera un de ses plus grands hits, You've got a friend, en compagnie des deux finalistes. Michel Rivard, un fan de James Taylor, chantera Carolina in my Mind avec le pape du folk rock. Francis Cabrel, un ami de Taylor, se joindra à eux. Wilfred Le Bouthillier présentera un extrait de son nouvel album et la DJ montréalaise, Mistress Barbara, fera aussi une prestation.

«Les gens sentiront la folie, la fête, pour cette dernière de la saison de Star Académie. On leur offre ce spectacle comme un cadeau», conclut le réalisateur.

Star Académie, ce soir, 19h30, à TVA.


Moments d'émotion

Voici les coups de coeur du réalisateur des grandes variétés de Star Académie, édition 2009, Jean Lamoureux.

1° Le plus long medley de l'histoire de Star Académie avec Céline Dion. «Touchante et généreuse, elle a donné beaucoup aux académiciens.»

2°Le numéro de guitares, un vrai trip de gars avec Sylvain Cossette et le guitariste Réjean Lachance, qui a déjà joué pour Johnny Hallyday et Steve Hill. Il y avait alors 14 virtuoses sur scène.

3°Quand j'ai amené une Ferrari sur scène pour la chanson L'envie d'Éric Lapointe, je trouvais l'image très forte.

4°Le numéro de Roger Hodgson. C'était big avec les effets laser. J'ai tellement travaillé fort pour donner ces belles images. Ça ne s'était jamais fait au petit écran. C'était mon défi personnel de ces galas. Je suis content du résultat.

5°Le medley de Beau dommage. C'était à leur image, doux et beau.

6°Le numéro des Colocs avec l'utilisation des pancartes, l'image du buldozer... Du vrai Dédé Fortin.

7°La chanson thème 1000 coeurs debout... avec tous les drapeaux, tellement rassembleuse.

8°Michel Fugain et la grosse horloge pour la chanson Je n'aurai pas le temps. Un beau flash que tu es content d'avoir comme réalisateur.

9°Évidemment Bryan Adams... tellement cool et aussi généreux.

10°Marie-Chantal Toupin avec Carolanne et la chanson Je regarde... On l'a changée la veille. Je trouvais que ce numéro leur allait comme un gant. Ce fut fameux.

11°Femme de rêve avec Claude Dubois. Wow, tellement d'émotions. Le défi était d'être juste envers tous les académiciens et de leur donner le même temps d'antenne, ce qui n'était pas nécessairement simple.

12°Et là, je vais me payer un beau numéro avec James Taylor, un gars qui a vendu 40 millions d'albums... et Michel Rivard va chanter avec son idole. Un beau cadeau.

Richard Therrien

Le Lundi 13 Avril 2009 | Mise en ligne à 22h19 | Commentaires (4)

Maxime, gagnant de Star Académie
Publié dans la catégorie Variétés


C’était prévisible: la Beauce a un nouveau roi, Maxime Landry, grand vainqueur de Star Académie 2009. Le public québécois l’a préféré à Carolanne D’Astous-Paquet hier soir au terme de la grande finale, un gala sans fausses notes (enfin!) qui a dû réjouir les fans.

Pour ce dernier gala, auquel participaient les 14 académiciens, l’équipe de production s’est une nouvelle fois surpassée avec des numéros réglés au quart de tour, et la présence de deux grosses stars, James Taylor et Francis Cabrel. Assurément le meilleur gala de la saison. Parmi l’assistance, même l’ancien chef du Parti québécois, André Boisclair, approuvait par son légendaire sourire.

L’un comme l’autre, les deux finalistes auraient difficilement donner meilleure prestation. Pour convaincre le public, Maxime avait misé sur une valeur sûre en interprétant Si Dieu existe de Claude Dubois, alors que Carolanne optait pour Si j’étais un homme de Diane Tell. Assurée et chantant d’une voix juste, la finaliste n’a montré aucune nervosité. Sa victoire de la semaine dernière lui a visiblement donné des ailes.

Le pot-pourri avec Francis Cabrel a donné lieu à un des meilleurs moments des galas de Star Académie. Paraissant impressionnés, les académiciens ont enfilé les grands succès de ce monument, que ce soit L’encre de tes yeux, Je l’aime à mourir ou Petite Marie. Seule la grande Sophie a trébuché sur quelques mots. En entrevue, Cabrel s’est montré étonnamment plus volubile et sympathique qu’à l’habitude.

La suite demain dans Le Soleil.

http://blogues.cyberpresse.ca/therrien/?p=768

Showbizz.net
Star Académie: Maxime Landry sacré grand gagnant de l'édition 2009
Le 13 avril 2009 - 22:22 | Geneviève Allard

Voilà, ça y est. Après plusieurs semaines à ravir le public québécois, la belle aventure Star Académie 2009 a pris fin ce lundi de Pâques. Le public a choisi de couronner en grande pompe Maxime Landry, qui était finaliste auprès de la lauréate féminine, Carolanne. Il repart avec la bourse TVA de 50 000 $, en plus de pouvoir enregistrer un album solo sur étiquette Musicor. Carolanne repart tout de même avec une bourse de 15 000 $.

À l'occasion de la finale, les 14 Académiciens ont entonné une dernière fois l'hymne de l'émission, «1000 coeurs debout», de l'auteur-compositeur-interprète Cali. Tous armés d'un drapeau du Québec et les cheveux au vent, les jeunes artistes semblaient gonflés à bloc.

Les performances de la dernière chance

D'entrée de jeu, les deux finalistes ont vu qu'une motion visant à encourager leurs talents a été adoptée à l'Assemblée nationale du Québec. Voilà une chose sur laquelle les trois partis se sont entendus, a blagué l'animatrice Julie Snyder.

Dans son résumé de la semaine, Carolanne a dit que son moment fort de la semaine a été son voyage de quelques heures en Floride, chez le directeur de l'Académie, René Angelil.

Elle a choisi d'interpréter, «Si j'étais un homme», chanson popularisée par Diane Tell. Une performance qui a ravi le public, et a particulièrement ému sa mère, qui lui a dit être très fière d'elle.

Pour sa part, Maxime Landry a parlé de la collation des grades dans son résumé de la semaine. Il a beaucoup aimé cette occasion de revoir sa famille et nombre de ceux qui ont croisé son chemin à Star Académie.

Il a décidé de chanter «Si Dieu existe», de Claude Dubois. La mère de Maxime était notamment accompagnée de son père. Ému aux larmes, le grand-père de Maxime aurait toujours cru au talent du jeune homme et craignait ne pas pouvoir vivre son succès de son vivant.

L'animateur de la quotidienne et «grand frère» Jean-Pier Gravel était en direct du centre communautaire de Sayabec, dans la Vallée de la Matapédia, où nombre d'admirateurs de Carolanne étaient en délire. Carolanne a tout de même été sauvée trois fois par le public, et ça s'est ressenti. La jeune femme a alors appris qu'un commerçant local avait mis son visage sur des saucisses italiennes pour encourager le vote!

Pour sa part, Laurence Bareil était à Saint-Gédéon-de-Beauce, où c'était aussi fou. L'animatrice a montré une quantité d'articles promotionnels à l'effigie de Maxime, le tout en tentant de parler par-dessus les cris de la foule réunis pour l'occasion. Il y a même un gâteau et une bière en l'honneur du jeune artiste!

Francis Cabrel, James Taylor et Wilfred LeBouthilier

Le premier invité de marque à fouler la scène de ce dernier gala a été l'auteur-compositeur-interprète français Francis Cabrel.

Lors du pot-pourri, il a interprété quelques-uns de ses plus grands succès avec divers Académiciens, soit «Sarbacane» avec Pascal, «Encore et encore» avec Brigitte, «La robe et l'échelle» avec Sophie, «La Corrida» avec Jean-Philippe, «Question d'équilibre» avec Émilie, «Je l'aime à mourir» avec William, «L'encre de tes yeux» avec Carolanne, et «Petite Marie» avec Maxime L.

Il est revenu plus tard sur scène pour chanter en compagnie de Michel Rivard et de James Taylor. Les trois grands interprètes ont chanté la très belle chanson «Carolina on my mind.» À la fin de la chanson, les deux finalistes ont prêté leurs voix à cet unique moment.

En effet, la légende du folk James Taylor a aussi participé à Star Académie ce lundi soir. Il a partagé la scène avec les deux finalistes, le temps de sa chanson «You've got à friend.» La performance a été présentée avec des images de l'édition 2009 de Star Académie sur de grands écrans.

Après sa performance, le grand auteur-compositeur-interprète, qui a récemment chanté à la cérémonie d'inauguration du président Barack Obama, a été chaudement applaudi par le public.

Le premier gagnant de Star Académie, Wilfred LeBouthilier, est revenu aux studios Mel's le temps d'interpréter une toute nouvelle chanson, «Jimmy joue», avec les 14 artistes de la mouture 2009. Que de chemin parcouru pour le pêcheur de homards depuis 2003! Son troisième album, dont toutes les personnes du public ont obtenu copie, est lancé ce mardi.

Sur une musique de Michel Rivard et des paroles des Académiciens, toute la bande a présenté une création collective intitulée «Ce sera le printemps pour tout le monde». Cette chanson est en quelque sorte le fruit des ateliers de Sainte-Adèle avec le célèbre auteur-compositeur-interprète québécois.

En fin d'émission, la DJ Misstress Barbara est venue pimenter la chanson-thème «1000 coeurs debout», une fois de plus interprétée par les 14 candidats de Star Académie 2009 et nombre des 500 artisans qui ont travaillé sur l'émission.

Les professeurs en danger

Ce lundi soir, les rôles ont été inversés pour le dernier Gala de la saison 2009. Le corps professoral de Star Académie a été mis en danger! Quelques Académiciens ont pris les sièges des professeurs et ont observé leurs performances, non sans leur avoir fourni de judicieux et humoristiques conseils!

René Angelil, Michel Rivard et Patrick Huard ont interprété un succès des Baronets, groupe dont a fait partie le célèbre impresario, chorégraphie d'un goût douteux et pantalons trop courts à l'appui.

La professeure d'interprétation Johanne Blouin a pour sa part chanté avec fougue «Barracuda», de Heart, avec les Académiciennes comme choristes.

Les professeurs d'expression française et d'éducation physique Sophie Faucher et Stéphane Quintal ont interprété «Paroles, Paroles» de Dalida. Les Académiciens masculins officiaient à titre de choristes, avec des crayons dans la bouche, comme lors de leurs cours de diction.

Enfin, la chorégraphe Geneviève Dorion-Coupal, avec les 14 Académiciens, a dansé sur «School's Out», d'Alice Cooper. Les danseurs et chanteurs ont performé énergiquement avec des pupitres et des extincteurs! À la fin du numéro, le directeur de l'Académie, René Angelil, déclenchait l'alarme d'incendie.

Les Académiciens sur la route...et un disque platine!

Après avoir su que leur disque a été certifié «or» la semaine dernière, les Académiciens ont appris qu'il était désormais déclaré «platine.»

Aussi, la tournée Star Académie prendra la route du Québec au mois de juin. Il y aura notamment un arrêt à Saint-Georges-de-Beauce dans la région de Maxime Landry, et un autre à Rimouski, pour les admirateurs de Carolanne. Notons que la tournée s'arrêtera aussi à Sherbrooke et à Ottawa.

Enfin, deux supplémentaires s'ajoutent au spectacle au Centre Bell de Montréal et une autre date est prévue pour le concert au Colisée de Québec. Tous les détails sont disponibles sur le site de Star Académie 2009, http://www.staracademie.ca.

http://www.showbizz.net/articles/20090413222056/star_academie_maxime_landry_sacre_grand_gagnant_ledition_2009.html

Maxime Landry remporte la quatrième édition de Star Académie

Il y a 50 minutes

MONTREAL — Maxime Landry, 21 ans, de Saint-Gédéon-de-Beauce, a été couronné grand gagnant de la quatrième édition de Star Académie, lundi soir.

Le jeune homme a eu le dessus sur la finaliste féminine, Carolanne D'Astous Paquet, 18 ans, de Sayabec, dans le Bas-Saint-Laurent, en interprétant "Si Dieu existe" de Claude Dubois. L'autre finaliste a quant à elle chanté "Si j'étais un homme" de Diane Tell.

Comme les gagnants des éditions précédentes, le lauréat 2009 aura l'occasion d'enregistrer un album sous l'étiquette Musicor. Il recevra également une bourse de 50 000 $. Carolanne D'Astous Paquet a pour sa part reçu une bourse de 15 000 $.

Maxime Landry s'est développé une passion pour la musique il y a plusieurs années, alors qu'il a appris à jouer de la guitare en plus de suivre des cours de chant. Il a remporté le Prix Jeune espoir enfant soleil en 2007, puis le premier prix du Festival de la chanson de Dégelis en 2007 et le prix Hydro-Québec du concours Ma première Place des Arts en 2008.

La finale de Star Académie a permis aux téléspectateurs de revoir leurs Académiciens favoris, tous de retour sur scène aux côtés des deux finalistes.

Francis Cabrel a été le premier invité de la soirée. Il a offert un pot-pourri de certains de ses succès, incluant "Encore et encore", "Je l'aime à mourir" et "Petite Marie", en compagnie des Académiciens.

La légende américaine du folk, James Taylor, a participé à deux numéros musicaux, d'abord en interprétant "You've got a friend" avec les deux finalistes, puis en chantant "Carolina in my Mind" aux côtés de Francis Cabrel et Michel Rivard. Parlant très bien français, il a tenu à répondre aux questions de l'animatrice Julie Snyder dans cette langue.

Enfin, le gagnant de la première édition de Star Académie, Wilfred Le Bouthillier, a interprété "Jimmy joue", le premier extrait de son troisième album, intitulé "Droit devant", qui paraîtra cette semaine.

http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5i9-N1ASq4iUmUgYq7ZjDcmS8riew

LES FANS ONT TRANCHÉ
Maxime, grand gagnant de Star Académie
Louise Dussault
13-04-2009 | 22h54

Au terme de ce qui aura été une merveilleuse aventure remplie de moments magiques, de belles rencontres et d'instants d'émotion, Maxime a été sacré grand gagnant de cette quatrième édition de Star Académie, une téléréalité rassembleuse diffusée au Réseau TVA qu'il faisait bon regarder en famille.

Pour cette grande finale, les gens des Productions J, qui nous avaient pourtant habitués à des galas inoubliables avec des invités tels Céline Dion, Bryan Adams, Éric Lapointe, Ginette Reno, Lady Gaga et Beau Dommage, avaient préparé une soirée mémorable où les moments tendres et les instants drôles se succédaient pour le plus grand bonheur des téléspectateurs qui sont toujours fidèles au rendez-vous.

Ouverture

Celui qui demeure le chanteur français le plus populaire au Québec, Francis Cabrel a ouvert ce dernier gala avec un medley au cours duquel il a interprété quelques-uns de ses plus grands succès, des classiques comme Encore et encore, Question d'équilibre et Sarbacane, avec les académiciens.

Une autre légende, mais venant du Sud celle-là, était de cette soirée. Il s'agissait de «l'idole des idoles», le chanteur folk James Taylor. Ce dernier a d'ailleurs partagé la scène avec deux autres idoles, Francis Cabrel et Michel Rivard, ce véritable monument de la chanson québécoise qui agissait comme professeur de création et qui, de toute évidence, n'en revenait tout simplement pas de partager la scène avec le célèbre auteur-compositeur-interprète américain.

Sur la scène du Studio Mel's, les trois hommes, qui formaient un trio de rêve, ont interprété Carolina In My Mind, un grand moment que les mélomanes ne sont pas prêts d'oublier et qui restera l'un des temps forts de cette quatrième édition.

Professeurs

Histoire de détendre l'atmosphère, alors que l'on se préparait à couronner un successeur à Wilfred LeBouthillier, Stéphanie Lapointe et Marc-André Fortin, les professeurs ont joué le jeu présentant des numéros tout simplement hilarants comme celui où René Angélil a fait revivre la belle époque des années yé-yé avec deux Baronets honoraires, Patrick Huard et Michel Rivard, ou encore celui où la professeure de diction Sophie Faucher a repris Parole, parole, une chanson qui avait été popularisée par Dalida et Alain Delon, avec Stéphane Quintal.

Finalistes

Fierté de Sayabec, localité de la région de la Matapédia, Carolanne a interprété Si j'étais un homme de Diane Tell. «C'est un peu la chanson de toutes les femmes», a indiqué la belle académicienne ajoutant que sa dernière semaine à l'Académie avait été marquée par une visite éclair à Jupiter où elle a été reçue par René Angélil.

Sous l'œil ému de son grand-père, un homme qui a toujours cru en lui et qui espérait vivre assez longtemps pour le voir réaliser son grand rêve, Maxime a interprété Si Dieu existe, un classique de Claude Dubois.

Même si c'est ce dernier qui a été sacré grand gagnant, on peut parier qu'il ne sera pas le seul académicien à faire son petit bonhomme de chemin dans le monde du showbiz et que Ce sera le printemps pour tout le monde (c'est d'ailleurs le titre de la chanson qu'ils ont composée avec Michel Rivard), pour Carolanne et tous les académiciens, comme en témoignent les supplémentaires qui ont déjà été ajoutées à la tournée Star Académie et le disque platine qui a été remis aux académiciens pour leur premier album.

http://www2.canoe.com/divertissement/musique/nouvelles/2009/04/13/9103266-qmi.html

Maxime Landry est le grand vainqueur de Star Académie

La Maximania ne s’est pas seulement emparée de la Beauce, mais du Québec au complet. Le public a fait de Maxime Landry le vainqueur de l’édition 2009 lors de la grande finale de Star Académie lundi soir dernier.

Le directeur de l’Académie, René Angelil, a couronné celui qu’il surnommait son « champion ». Maxime a effectué une série de remerciements lorsque son nom a été prononcé. « Merci beaucoup! Je voudrais dire merci aux professeurs, je vous le dois. Je veux aussi remercier les 13 personnes derrière moi, j’ai appris de chaque personne, c’est vraiment génial et merci au public », a lancé le lauréat 2009 de Star Académie

Maxime l’a emporté aux dépens de Carolanne d’Astous-Paquet de Sayabec, vainqueur de la finale des filles. Elle se mérite tout de même une bourse de 15 000 $.

Le vainqueur a remporté une bourse de 50 000 $. De plus, il aura la chance d’enregistrer un disque sous l’étiquette de Musicor. Par ailleurs, lors de la collation des grades de jeudi dernier, Maxime avait aussi remporté un piano d’une valeur de 15 000 $.

Lors de cette finale, soulignons que Maxime a interprété pour sa chanson finale, ''Si Dieu existe'' de Claude Dubois. Pendant la finale, il a aussi pu chanter ''Petite Marie'' en compagnie de Francis Cabrel.

Un rassemblement fou
L’aréna Marcel-Dutil de Saint-Gédéon était plein à craquer pour l’occasion. Ce troisième rassemblement était le plus important depuis le début de l’aventure de Maxime à cette émission de variétés. L’animatrice de Star Académie,présente à St-Gédéon, Laurence Bareil, a avoué qu’il s’agissait du rassemblement le plus fou jamais réalisé. Saint-Gédéon a par la suite fêté une bonne partie de la nuit.

Star Académie au Centre sportif Lacroix-Dutil
Exceptionnellement, le spectacle de la Tournée Sar Académie 2009 s’arrêtera au Centre sportif Lacroix-Dutil de Saint-Georges les 3 et 4 juillet prochain. Les Amants de la Scène offriront un soutien technique et logistique à cette tournée d’envergure.

Quelque 5000 billets ont été mis en vente ce soir vers 8 h et la billetterie des Amants de la scène demeurait ouverte jusqu’à minuit. Les lignes ne dérougissaient pas, selon le directeur général du diffuseur de spectacles, Jean-François Bernatchez.

Les billets sont disponibles au coût de 50 $ taxes et frais inclus à la billetterie des Amants de la Scène. Pour toutes autres informations, veuillez communiquer avec la billetterie au 418-228-2455.

http://www.enbeauce.com/detail-actualite.asp?ID=12823

Richard Therrien
Le Soleil

C'était prévisible : la Beauce a un nouveau roi, Maxime Landry, grand vainqueur de Star Académie 2009. Le public québécois l'a préféré à Carolanne D'Astous-Paquet hier soir au terme de la grande finale, un gala sans fausses notes (enfin !) qui a dû réjouir les fans.

Pour ce dernier gala, auquel participaient les 14 académiciens, l'équipe de production s'est une nouvelle fois surpassée avec des numéros réglés au quart de tour, et la présence de deux grosses stars, James Taylor et Francis Cabrel. Assurément le meilleur gala de la saison. Parmi l'assistance, même l'ancien chef du Parti québécois, André Boisclair, approuvait par son légendaire sourire.

L'un comme l'autre, les deux finalistes auraient difficilement pu donner meilleure prestation. Pour convaincre le public, Maxime avait misé sur une valeur sûre, Si Dieu existe de Claude Dubois, alors que Carolanne optait pour Si j'étais un homme de Diane Tell. Assurée et chantant d'une voix juste, la finaliste n'a montré aucune nervosité. Sa victoire de la semaine dernière lui a visiblement donné des ailes, mais pas suffisamment pour gagner.

Le pot-pourri avec Francis Cabrel a donné lieu à un des meilleurs moments des galas de Star Académie. Paraissant impressionnés, les académiciens ont enfilé les grands succès de ce monument, que ce soit L'encre de tes yeux, Je l'aime à mourir ou Petite Marie. Seule la grande Sophie a trébuché sur quelques mots. En entrevue, Cabrel s'est montré étonnamment plus volubile et sympathique qu'à son habitude.

Puis, le grand James Taylor s'est amené sur la scène. Encore là, les deux finalistes se sont montrés irréprochables et prouvé qu'ils avaient du talent. Même Ce sera le printemps pour tout le monde, la création collective des académiciens chantée avec Michel Rivard en fin de gala, valait le coup.

Personnalités en grand nombre

Pour cette grande finale, une multitude de personnalités connues figuraient parmi l'assistance, dont Marie-France Bazzo, Guy Fournier, Éric Lucas, Stéphane Venne et Josélito Michaud. Pour vous donner une idée de l'ampleur du phénomène, une motion proposée par la députée péquiste de Matapédia, Danielle Doyer, avait été adoptée à l'Assemblée nationale pour appuyer les finalistes. Et en duplex aux rassemblements des fans, on a vu que Carolanne avait des saucisses à son effigie, et Maxime, sa bière. On rit pus.

Le bien-cuit où les académiciens se moquaient de leurs professeurs n'était pas toujours drôle, mais les élèves s'en sont permis quelques salées. Comme Vanessa, qui a imposé une semaine de silence à René Angélil. « Si vous auriez... aviez pas parlé de l'année, ça l'aurait été encore mieux ! », lui a-t-elle dit, sous le regard perplexe de Sophie Faucher.

À suivi un numéro hilarant montrant les profs à l'oeuvre. Angélil, Michel Rivard et Patrick Huard ont repris la danse du Freddy, une chanson des regrettés Baronets. Une rare occasion de voir le mari de Céline faire le pitre sur une scène.

Encore trop long - presque trois heures -, le gala aurait pu se passer de la prestation de Wilfred Le Bouthillier. Moment pénible pour les téléspectateurs que les interventions en direct aux rassemblements de fans, presque inaudibles. L'attente a été interminable avant que René Angélil ouvre enfin l'enveloppe contenant le nom du gagnant, après l'incontournable mais inutile discours de Pierre Karl Péladeau.

Patrick Huard, que Guy A. Lepage et Dany Turcotte avaient mis au défi de porter sa carte chouchou de Tout le monde en parle sur le plateau de Star Académie, ne leur a pas donné ce plaisir. En complet cravate, Huard n'avait jamais eu l'air aussi chic. La véritable découverte de cette édition, lui qui a pratiquement éclipsé René Angélil en prof d'interprétation et directeur suppléant.

http://www.cyberpresse.ca/le-droit/arts/200904/13/01-846172-un-beauceron-trone-au-sommet.php

Star Académie: Maxime Landry, grand gagnant
Spectacles - Télévision
Écrit par Pascale Lévesque
Lundi, 13 avril 2009 23:53
Mise à jour le Mardi, 14 avril 2009 00:03


«Merci beaucoup! En particulier aux profs je vous le dois, aussi aux 13 personnes que j’ai derrière moi, j’ai appris de chaque personne, et merci au public!» Voilà un chanteur qui est prêt pour aller chercher son futur Félix, il connaît déjà la formule.

On peut bien reprocher à Maxime Landry d’épouser déjà le bon moule, reste qu’il était sans équivoque celui qui méritait d’être consacré lundi soir grand lauréat de la 4e saison de Star Académie devant sa rivale Carolanne D’Astous-Paquet de Sayabec, et ses douze autres compagnons. Le Beauceron a ainsi joint Wilfred LeBouthillier, Stéphanie Lapointe et Marc-André Fortin dans le club sélect des méritants.
Un couronnement attendu qui est arrivé au point culminant d’une soirée qui n’en finissait plus de s’étirer et dont les rares bons coups, dont les prestations des deux finalistes et la chanson finale avec Michel Rivard, ont été occultés par des enchaînements boiteux, des numéros répétitifs et des plogues surabondantes, si peu pertinentes.

On avait beau célébrer la résurrection ce week-end, il aurait fallu un miracle pour que cet ultime gala de presque trois heures ne se transforme pas en flop. Il a fallu attendre 90 minutes avant de voir une chorégraphie digne d’une soirée appelée «show de variétés», celle mélangeant profs et élèves.

Aurait-on dû faire le chakra du sexe de Johanne Blouin plus tôt? Parce que dans son cas, son numéro sur Barracuda a plutôt bien fonctionné. Et si la touche finale avec School’s Out valait le coup d’œil, on a malheureusement, encore une fois, fait primer la chanson anglophone.

Du déjà vu

C’était donc encore plus triste, après coup, de réaliser que Francis Cabrel a eu droit à une mise en scène digne d’un téléthon pour enchaîner ses grands classiques avec les académiciens. Oui, oui… le chanteur était fraîchement débarqué de l’avion. Reste que le numéro, où les aspirants chanteurs s’enchaînent aux côtés de la vedette pour venir se regrouper tous autour d’elle au final, on l’avait déjà vu avec Céline Dion, Bryan Adams, etc.

Entre les bonnes prestations de James Taylor ou celle de Wilfred, les interventions liant les numéros ont inutilement étiré la finale. On comprend que c’est impossible de passer à côté d’une mini-entrevue avec l’idole des chanteurs folk, ou de ploguer le nouveau disque du premier gagnant de Star Académie… Mais, était-ce vraiment utile au gala que de prendre un bon dix minutes pour pistonner les projets des profs de l’académie, déjà payés pour faire leur travail et qui ne sont pas là à la base pour faire de la promotion?

Ce qui me fait me questionner: si Carolanne et Maxime étaient vraiment les vedettes de cette soirée?

A-t-on a voulu rendre hommage à ces deux finalistes, dans le même esprit que l’a fait la députée Danielle Doyer à l’Assemblée nationale cette semaine, soit en faisant de leur ultime combat le meilleur spectacle possible? Ou est-ce que l’événement était prétexte à montrer comment on peut disposer à notre guise de trois heures de télévision.

Tant mieux pour Maxime, qui s’est dégoté un contrat de disque et une bourse de 50 000$ et aussi pour Carolanne qui a décroché une nouvelle bourse de 15 000$. Sur ce, j’ignore ce que vaut en argent un contrat de disque, mais je terminerais simplement en disant que les deux finalistes d’Occupation double se sont partagé, pour leur part, un demi-million de dollars en prix l’automne dernier.

Source: www.ruefrontenac.com

Publié le 15 avril 2009 à 07h15 | Mis à jour à 07h19

Maxime Landry : postier, fermier et chanteur acharné

Hugo Dumas
La Presse


Maxime Landry a bûché ferme et trimé avant de rafler la couronne de Star Académie 4. Quand son père s'est enlevé la vie, le jeune chanteur a abandonné ses cours de quatrième secondaire pour reprendre la route de facteur du paternel à Saint-Gédéon-de-Beauce, un village de 2351 âmes.

«Ça s'est fait sur un coup de tête. J'ai fini mon secondaire aux cours pour adultes. Après un an chez Postes Canada, j'ai arrêté et c'est ma mère qui a récupéré la route de facteur», confie, au bout du fil, Maxime Landry, la nouvelle coqueluche du public québécois.

À 17 ans, le Beauceron aux joues roses a déboursé près de 3000 $ pour suivre des cours privés à l'école Prochant, rue Lajeunesse, coin Jean-Talon, à Montréal. Pour une simple heure par semaine, Maxime se tapait quatre heures d'auto pour l'aller et quatre autres pour le retour. C'était en 2004 et 2005. L'aspirante star n'avait que 17 ans.

«À l'époque, il était timide et réservé. C'était un étudiant adorable, toujours à son affaire. Il avait déjà ses belles pommettes rouges. Il disait toujours merci et appréciait tout ce qu'il recevait», se souvient France Frenette, directrice de l'école Prochant où ont aussi étudié Mélanie Renaud, Marie-Élaine Thibert et Nancy Dumais.

Sa professeure de chant, Line Poirier, enchaîne: «C'était une éponge. Il retenait tout. C'était un authentique.»

En parallèle, Maxime Landry s'est aussi inscrit à l'Institut linguistique provincial de Montréal - le fameux two-five-four-six-o-one-one (254-6011) - pour comprendre ce qu'il chantait en anglais. «J'ai suivi trois mois de cours. Je me débrouille en anglais, mais je n'ai pas encore eu l'occasion de vraiment le pratiquer», détaille-t-il.

Motivé et mature, Maxime? Énormément. En plus d'animer des événements d'entreprise, de les concours (Expo-Québec, Enfant-Soleil, Dégelis, Ma première Place des Arts), de chanter dans les mariages et de donner des spectacles dans différents bars de la Beauce, l'interprète bossait, tous les week-ends, sur la ferme laitière appartenant à son beau-père.

«Je me couchais à 2 h ou 3 h du matin, après avoir chanté dans les bars, et je me levais à 5h pour le travail à la ferme. Au moins, c'était des horaires brisés et je pouvais faire une sieste vers 8h», explique Maxime Landry, qui n'a pas fermé l'oeil dans la nuit de lundi à hier.

Après une enfilade d'interviews, l'académicien champion a remis hier après-midi les voiles pour Saint-Gédéon, lieu de naissance de l'écrivain Jacques Poulin (Volkswagen blues), où l'attendaient son cheval Jack et toute sa famille. «Je flotte. Je suis sur un nuage», constate-t-il.

Ce qui le branche côté musique? Le country américain contemporain comme celui fabriqué par Keith Urban, Garth Brooks et George Strait. Il a bien aimé le dernier CD de Bon Jovi, Lost Highway, aux accents, vous l'aurez deviné, plus country. Chez les Landry, on écoutait aussi du Paul Brunelle, du Marcel Martel et beaucoup de western.

Chez lui, Maxime, fan de pop franco, écoute du Isabelle Boulay, du Céline Dion et du Mario Pelchat. Sa première cassette de musique? The Woman in Me de la Canadienne Shania Twain, qui renferme les succès (If You're Not in It for Love) I'm Outta Here! et Any Man of Mine. «Cette cassette-là, je l'ai vraiment usée dans mon walkman», note Maxime Landry. Toutes ces influences façonneront le premier disque qu'il enregistrera cette année. En attendant, place aux répétitions pour la tournée de Star Académie, qui décolle au Centre Bell le 5 juin.

Lundi soir, 2 792 000 téléspectateurs ont visionné la grande finale de Star Académie 4, qui a duré presque trois heures. C'était franchement trop long. À la fin du gala, alors que nous attendions que quelqu'un, n'importe qui, ouvre l'enveloppe, le réalisateur aurait dû couper la moitié des discours d'entreprise, qui n'intéressent que les commanditaires. Et entre vous et moi, Pierre Karl Péladeau, grand manitou de Quebecor, avait-il vraiment besoin de saluer la belle collaboration de TVA?

La programmation de Radio-Canada a complètement été aplatie par le bulldozer chauffé par Julie Snyder. Ni La petite vie (367 000), ni Chère Betty (256 000), ni Belle-Baie (260 000) n'ont franchi la barre des 400 000 fidèles.

Dimanche soir, Tout le monde en parle a remonté à 1 272 000 fans. Et dieu créa Laflaque a intéressé 707 000 personnes. Chez TVA, Dieu, merci! a été l'émission la plus populaire avec 823 000 accros

STAR ACADÉMIE
Patience jusqu'en 2011
Dany Bouchard
Le Journal de Montréal
15-04-2009 | 09h21

Les fans de Star Académie devront patienter au moins jusqu'en 2011 avant de retrouver la populaire émission.

«Pas de Star Académie en 2010, mais peut-être en 2011, confie l'animatrice, Julie Snyder, au terme du tout dernier gala. C'était le temps que ça finisse, admet-elle. Je fais aussi la production, et je comptais les dodos avant la fin.»

Après avoir reçu Céline Dion, Bryan Adams, James Taylor et Lady Gaga, Julie Snyder rêve d'accueillir sur son plateau nul autre que Paul McCartney.

«Il faudrait peut-être que René (Angélil) fasse le premier téléphone», dit-elle en riant.

Sur le plan humain, l'animation de Star Académie a néanmoins été une expérience très enrichissante pour elle.

«C'est très inspirant. Et je dirais que comme groupe, la cuvée 2009 a été la plus agréable», confie-t-elle.

http://www.canoe.com/divertissement/tele-medias/nouvelles/2009/04/15/9120716-jdm.html

Le communiqué officiel de la victoire de Maxime:

Le Québec a choisi son grand gagnant de l'édition 2009

15/04/09 - Le Québec a choisi son grand gagnant de l'édition 2009 de Star Académie. Maxime Landry succède à Wilfred Le Bouthillier (2003), Stéphanie Lapointe (2004) et MarcAndré Fortin (2005).

Les portes d’une longue et belle carrière artistique lui sont désormais ouvertes, avec pour bagage une expérience incroyable, forgée auprès des plus grands professionnels, et une bourse de 50 000 $ remise par TVA. Si Dieu existe de Claude Dubois, le jeune beauceron termine magistralement un parcours sans faute. Élu par le public dès les auditions en direct de l’Olympia de Montréal à l’automne dernier, il n’a eu de cesse lors des variétés de Star Académie de remporter tous les suffrages à chacune de ses mises en danger.

Durant ses neuf semaines à l’Académie, Maxime aura eu l’occasion de parfaire son art et sa maîtrise tant vocale que scénique. Il aura beaucoup appris au contact d’un corps professoral d’exception et sera parvenu à réaliser ses plus grands rêves ; à savoir chanter en duo avec Céline Dion et Claude Dubois. L’envie, extrait qu’il interprète sur l‘album disque platine de Star Académie parvenir à s’approprier, comme il a su le faire, ce titre de JeanJacques Goldman expressément écrit pour Johnny Hallyday!

Les semaines à venir seront particulièrement chargées pour le jeune interprète. Outre les nombreuses sollicitations des médias auxquelles il devra se plier, il retrouvera ses 13 acolytes de l’Académie pour la grande tournée Star Académie. Il lui faudra par la suite s’atteler à la production de son tout premier album solo, l’autre grande récompense de Star Académie.

Productions J et TVA félicitent Maxime Landry pour cette très belle performance et espèrent sincèrement que nous avons ce soir assisté au prélude d’une belle carrière musicale. La cuvée 2009 de Star Académie aura été un très grand crû, révélateur de bien des talents. Il ne serait pas surprenant que nombre de nos 14 artistes parviennent à percer sur la scène québécoise. Bravo à eux. Bravo au Québec qui fait une fois encore la démonstration de la vivacité de sa culture musicale.

Publié le 14 avril 2009 à 07h08 | Mis à jour le 14 avril 2009 à 07h14

L'académie en huit temps

Hugo Dumas
La Presse

Et c'est fini! La quatrième présentation de Star Académie a pris fin hier soir sur les ondes de TVA. Encore cette année, les galas du dimanche ont regorgé de moments de télévision qui ont fait jaser tout le Québec, pour les bonnes ou pour les mauvaises raisons. Voici quelques observations à propos de ces soirées survoltées, où il fallait toujours applaudir sur ses avant-bras et crier, comme Julie Snyder, wou-hou!

1 - Gaga pour Lady GaGa

Le passage de cette jeune artiste chez Julie Snyder a choqué plusieurs téléspectateurs. Pourquoi n'a-t-elle pas montré son visage? Réponse: parce qu'elle chante une pièce qui s'appelle Poker Face. Et pourquoi a-t-elle ignoré Carolanne? Parce que Lady GaGa, une vraie bombe d'énergie, dansait sur sa propre planète ce soir-là. En entrevue après sa prestation électrique, la New-Yorkaise a complètement bousillé la portion «entrevue avec Julie Snyder». Un moment de télé surréaliste, surprenant, qui a injecté beaucoup de fraîcheur dans un univers généralement trop bien encadré. Enfin, un peu de folie et d'excentricité.

2 - Céline Dion à l'unisson

Une invitée plus généreuse que Céline Dion, ça se trouve rarement. La diva de Charlemagne a offert le plus long pot-pourri (17 minutes) de toute la saison de Star Académie, égrénant son catalogue de succès du début (Ce n'était qu'un rêve) jusqu'à la fin (Taking Chances). Le tout, dans une mise en scène flamboyante n'ayant rien à envier à American Idol ou à la Star Ac française.

3 - Éric Lapointe, poussé par le vent

Il revenait de loin Éric Lapointe. Tout bronzé, l'oeil pétillant et sobre, le rockeur québécois a libéré sur la scène des studios Mel's une énergie brute capable d'illuminer le Québec au grand complet. Malheureusement, Lapointe a été soumis à un barrage de questions indiscrètes et à une série de blagues douteuses. Ce n'était ni lieu ni le moment pour mener une entrevue à la Claire Lamarche. Surtout quand ce sont les académiciens qui se prennent pour des Denise Bombardier. Malaise.

4 - Métamorphoses haut de gamme

La finaliste féminine - Carolanne - est l'académicienne qui a le plus profité de la touche magique du styliste de Star Académie. Regardez sa photo avant et après son entrée à Sainte-Adèle. Mettons que le résultat est pas mal plus saisissant qu'une émission de Canal Vie. Souvent, la télé québécoise manque de glamour. Mais pas chez Julie Snyder, où les cravates étroites, vestons cintrés, talons hauts, noeuds papillons, paillettes et robes moulantes ont donné aux académiciens des looks de stars très Hollywood. Par contre, les pantalons jaunes de Pascal Chaumont devraient être bannis à vie des studios Mel's.

5 - Bryan Adams, coupant comme un couteau

Gros calibre d'invité: Bryan Adams, le musicien canadien qui pond des hits à la pelletée. Sa performance de 12 minutes a semblé très courte et on en aurait pris davantage. Par contre, plusieurs académiciens ont profité du passage du rockeur à la voix rauque pour se démarquer dont Maxime Landry (Cuts Like A Knife) et Brigitte Boisjoly (Heaven). La présence de Bryan Adams a fait fondre l'animatrice, qui a embrassé à fond son côté groupie. Joli moment de télévision.

6 - L'odeur délicieuse de la liberté

C'était risqué que de prendre une chanson française peu connue (1000 coeurs debout) d'un artiste français peu connu (Cali) et de la catapulter comme hymne de Star Académie. Aucune controverse cependant. La pièce, dont les choeurs évoquent ceux de la formation montréalaise Arcade Fire, a rapidement été adoptée par les fans et s'est incrustée dans nos têtes. «Est-ce que tu vois, toi aussi, quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing, haut vers le ciel, est-ce que tu sens, l'odeur délicieuse de la liberté?»

7 - Collation des grades

De tous les professeurs de l'académie, Patrick Huard et Sophie Faucher ont été les plus captivants. Souvent, les «debriefings» de Patrick Huard étaient plus francs, plus justes que ceux de René Angélil, où tout le monde était toujours fantastique ou incroyable. Quant à Sophie, sa flamboyance a été spectaculaire, comme toujours. Ses conseils linguistiques nous ont épargné bien des «si j'aurais» ou des «ça l'a» qui font toujours tiquer à la télévision. Merci Sophie.

8 - SuperRoger!

On a beau trouver agaçante/grinçante la voix de l'ex-leader de Supertramp, reste qu'on connaît tous ses succès: Dreamer, The Logical Song, Give A Little Bit, Take The Long Way Home et Breakfast in America. Beau numéro qui nous a révélé un Roger Hodgson très sympathique.

http://www.cyberpresse.ca/arts/television-et-radio/200904/14/01-846196-lacademie-en-huit-temps.php

Publié le 15 avril 2009 à 07h24 | Mis à jour à 07h28

Star Intoxication
Nathalie Petrowski
La Presse

Je me revois encore réprimer un bâillement à la conférence de presse où Julie Snyder nous a annoncé la tenue d'une quatrième mouture de Star Académie. C'était en juin dernier et à l'époque, j'étais convaincue que l'émission avait fait son temps et qu'elle était condamnée à plus ou moins brève échéance au déclin, voire à l'extinction. Le mouvement avait été amorcé avec une troisième année terne et décevante. L'effet de la nouveauté émoussé, que resterait-il pour cette quatrième version sinon la morne reprise d'un air trop connu? C'était oublier l'extraordinaire capacité de renouvellement de Julie et de son équipe. C'était aussi sous-estimer la puissance du réseau de la démone et l'ardeur de sa force de persuasion. Sans ces atouts majeurs, Star Académie 4 aurait sans doute été une émission semblable à la précédente, divertissante par moments, lassante et redondante le reste du temps. Mais Julie (ou quelqu'un de son entourage) a eu une idée de génie: elle a invité le roi des imprésarios à venir diriger son équipe et, contre toute attente, le roi a accepté l'invitation.
Star Intoxication

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Pour renouveler la formule, qui commençait à s'émousser, les artisans de Star Académie ont invité le roi des imprésarios à venir diriger l'équipe et, contre toute attente, René Angélil a accepté l'invitation.

Photo: François Roy, La Presse

En persuadant René Angélil de bénir de sa présence l'émission, Julie venait d'un coup sec de changer la trajectoire d'une formule en déclin et de la faire renaître de ses cendres. À la fois aimant et locomotive, ce joueur «global» (à la fois local et international) a non seulement agi comme un stimulant sur le moral et l'ambition des académiciens, mais il leur a permis de se mesurer autant aux vedettes d'ici qu'aux grosses pointures internationales comme Lady Gaga, Bryan Adams ou James Taylor. L'effet Angélil a eu en même temps une incidence indéniable sur le corps professoral de l'Académie auquel se sont jointes des personnalités plus associées au monde de la culture qu'à celui du divertissement et qui, par le passé, auraient trouvé mille et une bonnes raisons de fuir le château Péladeau. Mais cette fois, il fut de toute évidence impossible de résister à la tentation de respirer le même air que René et Céline, tout comme à celle de rejoindre des centaines de milliers de téléspectateurs. Dernier effet Angélil: les galas du dimanche dont la qualité se devait d'être au rendez-vous, ne serait-ce que pour prouver à l'illustre agent qu'il avait eu raison de s'associer à l'entreprise.

C'est ainsi que Star Académie 4 n'a peut-être pas réinventé la roue mais, à tout le moins, a renouvelé le concept des variétés à la télé. Grâce aux moyens techniques consentis et à l'argent investi, l'émission a accouché chaque dimanche soir de productions de haut niveau, rythmées, rassembleuses et toujours réglées au quart de tour malgré les fausses notes et le talent très moyen de plusieurs académiciens.

Résultat: au lieu de se retrouver avec des cotes d'écoute en chute libre et une église dépeuplée, Star Académie 4 a battu des records d'écoute et rempli l'église. Plus important encore: les régions se sont littéralement emparées du phénomène et l'ont poussé à l'extrême, organisant ici et là des rassemblements et des mouvements d'appui dignes d'authentiques campagne électorale.

Cet engouement populaire, qui a même contaminé l'Assemblée nationale et provoqué le dépôt d'une motion d'appui de la députée péquiste de Matapédia, fut l'élément le plus émouvant de l'aventure. Voir ces milliers de jeunes de la Beauce, de Québec ou de Rimouski prendre fait et cause pour un gars ou une fille de leur coin, et tout mettre en oeuvre pour les aider à gagner, était impressionnant.

C'était impressionnant, mais c'était un peu triste aussi dans la mesure où cette mobilisation massive s'est faite autour d'un divertissement qui n'avait d'autre but que d'entretenir une forme d'intoxication extrême au vedettariat. Or, c'est bien beau les vedettes, mais ce n'est pas avec des vedettes qu'on fait des enfants forts ni des pays en santé.

Si un jour, le public de Star Académie comprend que se mobiliser pour un chanteur, c'est bien, mais que se mobiliser pour une idée politique ou un projet de société, c'est encore mieux, l'émission aura fait une véritable oeuvre sociale. En attendant, Star Académie a fait de nous des intoxiqués heureux mais des intoxiqués tout de même.

http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/nathalie-petrowski/200904/15/01-846590-star-intoxication.php

14 Avril 2009 à 13h42

L’annonce de la venue de la tournée Star Académie au Centre Sportif Lacroix-Dutil de Saint-Georges a créé un raz de marée en Beauce. De milliers billets ont trouvé preneur dès la première soirée de mise en vente. Des supplémentaires auront lieu le 2 juillet à 19 h 30 et le 4 juillet à 14 h.

Maxime Landry est sur toutes les lèvres en Beauce et au Québec. Le grand gagnant de Star Académie 2009, et ses 13 camarades feront donc quatre représentations en trois soirs. Les billets des représentations du 3 et du 4 juillet en soirée sont partis comme de petits pains chauds.

Les billets de ce spectacle à grand déploiement sont en vente dès maintenant par téléphone : (418) 228-2455, par Internet au http://www.productionsj.com ou http://www.geg.ca.

http://www.enbeauce.com/detail-actualite.asp?ID=12833

Maxime Landry a hâte de travailler à son album

À peine sorti de la belle aventure de Star Académie, Maxime Landry affirme avoir très hâte de parler de sa carrière solo avec les gens de Musicor et de travailler sur son premier album.

«On me laisse deux ou trois jours de repos et après ça on va tout de suite commencer à travailler sur la tournée et on va enregistrer l'album aussi en même temps», de dire le jeune homme. Sans être un disque country, Maxime souhaite que ce style de musique qu'il adore ressorte dans les arrangements musicaux sur certaines pièces. «J'aime ce qui sonne un peu comme Isabelle Boulay ou Dany Bédard», explique celui-ci.

Le jeune homme a conscience qu'il aura son mot à dire dans le choix des pièces et le style de l'album. «J'en ai beaucoup parlé en dehors des ondes avec René Angélil à ce sujet. Il m'a bien conseillé», déclare Maxime. Celui-ci n'en revient tout simplement pas d'avoir eu la chance de le côtoyer, lui et sa femme, Céline Dion. «Ils sont un beau modèle de persévérance et juste de savoir que ces gens là me connaissent et ce qu'ils pensent de ma façon de chanter, ça fait tellement plaisir», déclare le Beauceron.

Si Dieu existe...

Le jeune chanteur est très heureux d'avoir interprété Si Dieu existe au dernier gala. René Angélil lui avait conseillé Laisse-moi t'aimer de Mike Brandt, mais arrivé en répétition, il s'est aperçu que ça ne lui collait pas du tout à la peau. «C'était un eu la panique. Vendredi, j'ai appelé Stéphane Laporte et il a accepté mon nouveau choix de chanson», dit-il.

De nouveaux rêves

Après avoir pu réaliser de si nombreux rêves, Maxime Landry croit qu'il faudra qu'il s'en trouve de nouveaux. «Je me trouve tellement chanceux de pouvoir commencer dans ce milieu-là. J'ai toujours voulu voyager et là je vais pouvoir le faire», dit-il.

De retour depuis mardi soir à Saint-Gédéon pour quelques jours, Maxime Landry a du mal concevoir qu'il soit désormais une vedette et montre d'ailleurs un certain malaise lorsque nous employons cette expression. «Je suis encore sur mon nuage et j'ai pas encore bien pris conscience de toute l'ampleur que cette aventure a pu prendre j'ai l'impression», dit-il.

Il n'a pas l'intention de regarder l'émission quotidienne et il a déjà vu les galas à quelques reprises à l'Académie.

http://leclaireurprogres.canoe.ca/webap ... 31&id=1071

Publié le 15 avril 2009

Trois académiciens en promo





De passage à Sherbrooke mercredi, Sophie Vaillancourt, Pascal Chaumont et Émilie Lévesque flottent encore sur le nuage de Star Académie, même si les projecteurs télé se sont éteints il y a trois jours.

Imacom, Jocelyn Riendeau


Steve Bergeron
La Tribune

(SHERBROOKE) Les projecteurs télé sont maintenant éteints, mais le quotidien des académiciens est toujours aussi riche.

Trop riche pour ne pas le vivre pleinement, sans trop s'inquiéter des lendemains. Émilie, Sophie et Pascal ont eu à peine le temps de déposer leurs valises, les voilà en promotion pour leur album.

Dans deux semaines, les répétitions du spectacle vont s'amorcer.

«La semaine prochaine sera la seule vraiment plus calme pour nous», disent Émilie et Sophie, qui ont eu l'équivalent d'une journée pour retrouver leurs proches avant de se faire à nouveau happer par le tourbillon.

«Dès le début de mai, les répétitions du spectacle vont commencer. Ça vient vite, quand même, le 5 juin!»

Déjà cinq représentations sont prévues au Centre Bell et au Colisée Pepsi, auxquelles se sont ajouté Rimouski, Ottawa, Saint-Georges-de-Beauce, Chicoutimi et Sherbrooke (le 29 juin). L'album est déjà certifié platine (80 000 copies vendues). Et aujourd'hui, le trio est aux premières loges pour mesurer l'ampleur du phénomène populaire.

«C'est comme si nous étions partis en voyage et que nous revenions aujourd'hui en découvrant que tout le monde sait tout ce que nous avons fait pendant notre absence», compare Sophie. «C'est surprenant. Nous étions vraiment coupés de l'extérieur. Pour une personne timide et réservée comme moi, c'est très touchant.»


source:
http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/ar ... -promo.php

Star Académie : l'expérience d'une vie

Agence QMI
Arts et spectacles - Publié le 31 mars 2009 à 07:58


Photo:Agence QMI
Jean-Philippe et Pascal se sont réjouis pour Maxime lorsqu'on a annoncé qu'il était le gagnant masculin de Star Académie 2009 au terme du gala de dimanche dernier.

Loin d’être atterrés, les trois délogés du dernier gala de Star Académie, William, Pascal et Jean-Philippe, s’accordent à dire qu’ils viennent de participer à l’une des plus belles expériences de leur vie.

«Je n’avais jamais pensé me présenter à Star Académie. Pas que je ne voulais pas, mais je n’y pensais pas. Avant Star Académie, je gagnais ma vie avec la musique en chantant dans les bars. C’est Étienne Drapeau qui m’a encouragé à le faire. Heureusement que je l’ai fait : être passé à côté de Star Académie aurait été une erreur», dit le candidat de Québec Jean-Philippe Audet, au lendemain de sa sortie de la maison de Sainte-Adèle.

Audet est heureux du cheminement qu’il a accompli à Star Académie. Il a offert différentes couleurs musicales, a joué avec son apparence physique, a modifié sa coiffure, s’est présenté en chemise à carreaux avec bretelles et en kilt écossais. Qui plus est, Jean-Philippe mange aujourd’hui du tofu et a cessé de fumer. Tout un changement!

Et le Québécois est content également de savoir que le public a découvert son humour. «Dans la vie de tous les jours, j’ai toujours aimé “joker”. Au début, les caméras me gênaient peut-être un peu, mais, avec le temps, je me suis habitué», dit-il.

De toutes les rencontres qu’il a faites, Jean-Philippe Audet se souviendra toujours de celle de Brian Adams, ainsi que de celles de Céline Dion et René Angélil. «T’as l’impression de connaître Céline, mais c’est lorsque tu la rencontres que tu t’aperçois de toute l’ampleur de la machine», dit Audet. D’ailleurs, William et Pascal ont aussi été très marqués par le couple Dion-Angélil.


William

Pour sa part, William Deslauriers a finalement trouvé sa couleur musicale à Star Académie. «C’est du California sound, du folk-country», dit l’académicien. Et le jeune homme de Plessisville est fier d’avoir enfin composé une chanson en français. «De me faire féliciter en plus par Patrick Huard et Michel Rivard, je suis vraiment content», rappelle William.

De son passage à Star Académie, William Deslauriers avoue qu’il a tout aimé. «Nous avions des rencontres quotidiennes avec des gens qui avaient beaucoup à donner. C’est certain que d’avoir rencontré Céline et René m’a marqué». William croit qu’il gardera contact longtemps avec plusieurs académiciens. «Même ceux qui ont été délogés au début... nous étions comme une grande famille», précise William.


Pascal

Si Jean-Philippe a cessé de fumer, Pascal, de son côté, a arrêté de manger de la viande. «C’est un peu à cause de Julie (Snyder)». On sait que la populaire animatrice est végétarienne depuis un moment et a initié les académiciens au végétarisme cette année.

Pascal Chaumont retient une grande leçon de son passage à Star Académie. «Tous les artistes que nous avons rencontrés ont dit que le travail, c’est la réussite. Ce n’est pas parce qu’on a fait Star Académie qu’on a une carrière. Il ne faut pas s’asseoir sur ses lauriers», note-t-il.

Voilà un moment que Pascal roule sa bosse dans le monde de la chanson. Il y a quelques années, il avait remporté le concours Jeunes Talents Expo-Québec sur... Maxime Landry. Le jeune homme s’amuse aujourd’hui de l’anecdote. À Star Académie, il a montré qu’il aimait les chansons à saveur humoristique. Mais il a un petit côté plus sérieux, et même électro, qu’il entend bien faire découvrir un jour.

http://linformationdunordmonttremblant. ... 32&id=1377

Pascal a gardé son authenticité!

Luc Lefebvre
Arts et spectacles - Publié le 10 avril 2009 à 18:07


Photo:Luc Lefebvre
Pascal est resté le même gars sympathique à sa sortie de l'Académie

Ce jeudi 9 avril, c'était la collation des grades chez les Académiciens. Plusieurs prix ont été remis dont certains à nos représentants locaux, Karine et Pascal.

La chanteuse d'Huberdeau Karine Labelle a reçu une distinction pour son style, de quoi oublier le difficile port des talons hauts lors de son ultime gala. Le styliste de l'Académie est lui-même venu dévoiler le prix comportant 3 000$ de bons d'achat de souliers et vêtements.

Puis Patrick Huard a dévoilé le prix de l'Authenticité à un Académicien qui l'a impressionné par sa capacité à soulever la foule et provoquer la frénésie générale: «Quand il arrive, le party pogne. Il a ça en lui!», de dire le professeur Huard.

Son jeune protégé, le charismatique Pascal Chaumont, s'est donc mérité le titre de candidat le plus authentique et s'est vu remettre, des mains mêmes de Patrick Huard, une invitation officielle à venir faire la fête à son bar avec pas moins de 25 invités. Pascal s'est empressé d'inviter tous les Académiciens, question de célébrer en grande cette authenticité tout en chevelure!


Une Yaris Pour Pascal!

En duos, les Académiciens étaient invités à produire un vidéo clip sur la Toyota Yaris durant leur séjour à Sainte-Adèle. Les internautes étaient conviés à voter pour leur clip préféré. L'oeuvre originale de Pascal et Sophie a finalement eu la cote du public. Les complices ont donc eu le bonheur de recevoir les clefs d'une Yaris chacun. On verra Pascal rouler dans la noire et Sophie dans la rouge.

http://linformationdunordmonttremblant. ... =Nouvelles

Journal

COTES D'ÉCOUTE
Lundi soir historique au petit écran
Michelle Coudé-Lord
Le Journal de Montréal
15-04-2009 | 05h57

La finale de Star Académie a été regardée par une moyenne de 2 792 000 téléspectateurs selon les données BBM. À 21 heures, plus de 4 millions de téléspectateurs étaient devant leur petit écran et plus de 70% d'entre eux regardaient Star Académie. Ce qui en fait un des lundis soirs les plus populaires de l'histoire de la télévision.

C'est ce que déclarait hier Jean-Pierre Giroux, de chez Touché!, firme experte en placement média.

«On peut dire mission accomplie pour ce grand show de variétés. La finale de Star Académie a obtenu 10%de plus d'auditoires que les galas du dimanche soir, telle était notre prévision. C'est une émission de très grande qualité, aimée du public. Et pour le monde de la pub, c'est notre Super Bowl. Plusieurs compagnies trouvent payant d'annoncer lors de ce grand rendez-vous. Nous n'avions pas vu cela depuis longtemps un auditoire de près de 3 millions un lundi soir. C'est un fait rare à la télévision», ajoute Jean-Pierre Giroux.

Captif pendant trois heures

Ce qu'il faut noter également, c'est que ces grands rendez-vous de Star Académie réussissent à capter l'attention de l'auditoire pendant plus de trois heures.

«On peut présumer que si le show avait été plus court, ils auraient atteint une cote de 3 millions. Conserver un auditoire aussi longtemps un lundi soir pour une seule émission, c'est un bel exploit», ajoute l'expert de chez Touché!

À TVA, la directrice des communications, Nicole Tardif, s'est dite très heureuse de ces résultats.

«À 21 heures, 2 931 000 étaient à l'écoute de Star Académie, soit plus de 70% de l'auditoire disponible à ce moment-là. Cela signifie que la stratégie du lundi soir a bel et bien fonctionné. Rare qu'il y ait un auditoire de 4 millions de téléspectateurs à l'écoute un lundi soir. Ça montre à quel point Star Académie est une émission rassembleuse.»

Rappelons que dimanche soir, jour de Pâques, Tout le monde en parle a rejoint 1 272 000 téléspectateurs, son public habituel, avec ou sans Star Académie.

À noter que les galas Star Académie sont les seules émissions qui ont dépassé le cap des 2 millions depuis janvier. «La formule est encore très gagnante et la barre est maintenant très haute pour les émissions de variétés», précise Jean- Pierre Giroux.

La productrice Julie Snyder promet déjà d'offrir une autre saison de Star Académie, mais pas avant deux ans. L'attente aura été fort bénéfique entre les deux dernières saisons. Cela aura permis à un nouveau talent de naître ce qui a permis de présenter une cuvée exceptionnelle. Plus de 500 personnes travaillent à l'aventure Star Académie et ce, pendant plusieurs mois.

http://www.canoe.com/divertissement/tele-medias/nouvelles/2009/04/15/9118001-jdm.html?477f96b5bf844e9e9bb8c3745ad3dfde

William se concentre maintenant sur la tournée de Star Académie
Il souhaite aussi réaliser un album qui lui ressemble

par Carol Isabel
Article mis en ligne le 16 avril 2009 à 10:25

William ainsi que ses parents Daniel et Isabelle ont été invités par le maire Jacques Martineau a signé le livre d’or de la Ville. La Ville lui a également offert un certificat-cadeau d’une valeur de 1 000 $ dans les commerces de Plessisville.
William Deslauriers a vécu toute une aventure en participant à Star Académie. Du même coup, il a fait vivre beaucoup d’émotions aux membres de sa famille tout en faisant vibrer la communauté plessisvilloise au cours des deux derniers mois. Son sourire a donné une autre couleur à l’hiver 2009.
«Il y a trois mois, mon but était de remplir les divans du salon avec ma blonde et mes amis. Aujourd’hui, je me fais reconnaître sur la rue Sainte-Catherine même à 4 h du matin. Ma vie change mais moi je reste le même. Je veux juste faire tripper les gens et tant mieux si je peux gagner ma vie aussi», a commenté William Deslauriers lors d’un point de presse organisé par la Ville de Plessisville au Carrefour de l’érable, mercredi soir.
La Ville de Plessisville, qui a bénéficié d’une visibilité incroyable par la présence de William à Star Académie, a profité du retour de l’académicien dans son patelin pour lui rendre hommage.
Le maire Jacques Martineau a notamment indiqué que la performance, la ténacité et l’audace du jeune homme de 18 ans (bientôt 19) méritaient d’être soulignées. «Il a été un exemple pour notre communauté et il a marqué plusieurs de nos concitoyens», a ajouté le maire convaincu que l’artiste plessisvillois a une belle carrière devant lui.
Le jeune homme a rappelé être resté lui-même durant l’aventure et qu’il a fait des interprétations selon son style. «Quand j’étais déstabilisé, je williamisais ce que je faisais. Les gens aimaient ça». La plus belle claque sur la «yeule» de sa vie, c’est celle que lui ont offerte Patrick Huard et Michel Rivard en lui disant qu’il avait trouvé sa «couleur» et sa «voix».
William se rappellera de plusieurs bons moments à Star Académie et principalement ses prestations avec les artistes de grand renom qui ont pris part à l’émission.
Pour les deux prochaines semaines, il se consacrera à sa famille, à sa blonde et à ses amis. «Il y a ensuite un gros travail qui attend tous les académiciens pour roder notre show qui débutera le 5 juin au Centre Bell. La différence avec Star Académie, c’est que nous pourrons nous ressourcer auprès de notre famille».
Après la tournée, il espère avoir le privilège de faire son album. «J’ai déjà trois compositions réalisées en français. Je pense que j’ai trouvé le tour et j’aime ça». Pour William, il ne fait aucun doute que tout le monde peut réussir, peu importe le métier choisi, et c’est le message qu’il veut livrer aux gens.
Son père Daniel a de son côté fait savoir qu’il était extrêmement fier de son fils et l’a remercié d’être ce qu’il est. Il s’est également dit ému de voir la population appuyer William. «C’est de l’amour gratuit». Sa mère Isabelle en a rajouté en disant n’avoir jamais vécu d’émotions aussi fortes et répétées dans sa vie, soit par les prestations de William ou par les encouragements reçus. «Ce fut de la chaleur au truck», a-t-elle conclu tout en se disant honorée que William puisse servir de modèle pour plein de jeunes.
Immédiatement après la conférence de presse, William s’est prêté avec plaisir à une séance d’autographes qui a duré près de deux heures et demie. Ils ont été plusieurs centaines à venir rencontrer leur favori local.


http://www.lanouvelle.net/article-326469-William-se-concentre-maintenant-sur-la-tournee-de-Star-Academie.html

Publié le 17 avril 2009 à 07h45 | Mis à jour à 07h47
[size=150]Un sentiment identitaire des régions[/size]


Maxime Landry, le grand gagnant de la dernière édition de Star Académie.
PHOTO: FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Luc Archambault
Mme Petrowski, dans votre chronique, vous décrivez fort bien un phénomène de société concernant une partie du sentiment identitaire québécois et ce qu'il faut pour faire un Québec fort et en santé.
Si le «public de Star Académie» est intoxiqué, je pense que votre opinion sur ce phénomène l'est tout autant. Il l'est par un certain mépris du peuple caractéristique de bien des élites, y compris les nôtres: «Le peuple ne sait pas se mobiliser pour du sérieux.»

Mais je peux comprendre qu'on puisse n'y avoir pas trouvé d'antidote et qu'on y succombe. En effet, la mobilisation politique du peuple semble être tout ce qu'il y a de désespérant, compte tenu du fait qu'elle ne semble exister que pour ce que l'on peut considérer comme étant des futilités. Cependant, en n'étant pas aveuglé par des étoiles trop proches, le phénomène que vous décrivez me semble plutôt être tout ce qu'il y a d'encourageant.
Il permet de canaliser ce que nous pourrions qualifier de dignité et fierté de la pluralité des régions du Québec. Je ne pense pas que ce soit bêtement de la soumission à un système de vedettariat abrutissant. Au contraire. Ce qui pousse le public de chaque région à se mobiliser autour de l'un des siens, ne fût-ce que des pousseurs de chansonnettes, ce n'est pas l'air de la chanson ou l'air de la «vedette», mais bien un sentiment identitaire régional en concurrence les uns avec les autres, tout ce qu'il y a de profond, prometteur et sain à plusieurs égards.
Les régions du Québec ont en commun d'avoir toutes été saignées à blanc depuis l'industrialisation de la métropole qui a vidé les campagnes du Québec.
Le système stellaire québécois qui rayonne depuis, depuis Montréal, est composé pour beaucoup de cette déracinée diaspora québécoise qui a affamé et mis en périphérie ce qui auparavant était au centre de nos orbites sociétales. De Gilles Vigneault à Guylaine Tremblay, de Jean Leloup à Marie Tifo, de Pascale Picard à Guy et Louis Bélanger, de Bob Walsh à Dédé Fortin, d'André Robitaille à Richard Desjardins...
Ce que font les régions du Québec en se mobilisant pour de supposées futilités n'a rien de futile. Déjà là, c'est politique, elles se mobilisent. Si elles ne se mobilisaient pas pour des futilités, le feraient-elles pour autant autrement? Et... il se trouve qu'elles le font aussi autrement, mais cela se trouve à n'être pas aussi tonitruant, quand ce n'est tout simplement pas ignoré, même crié à haute voix. Les régions se battent tous les jours pour faire de leur terroir, de leur milieu de vie quelque chose qui ne soit pas intoxiqué par ce qui nous vient indubitablement de Montréal... via des médias centralisés.
Ce que ce phénomène laisse entendre c'est qu'il témoigne de la vitalité des régions et de leur dur désir de durer. L'émission participe à l'expression de ce désir, je dirais même qu'il l'encourage et développe de belle et profonde façon en permettant de la manifester, même s'il était question de futilités commerciales. Je ne vois pas pourquoi il faudrait déjà vouloir que cela se manifeste aussi politiquement. Cela viendra en son heure.
Pour une fois, ce centre du monde n'est pas Montréal... n'est pas que Montréal... Et pourtant... L'équipe de Julie est tout ce qu'il y a de Montréalais, c'est donc tout à l'honneur de leur travail de mise au monde d'un pays qui est tout autre chose qu'une vague région uniforme du Canada multiforme et pluriel...
Quand la Beauce vote en masse pour un tel ou une telle à l'Académie stellaire de Julie & Co., elle ne se mobilise par que pour une chansonnette, elle vote pour sa survie, vote contre l'expatriation de sa jeunesse, vote pour le développement de ses ressources, vote pour un représentant de son succès et de son rayonnement, vote pour ce que produit son terroir et ses habitants, à savoir qui du foie de canard, qui un fromage fin, qui des structures d'acier, et toutes, des enfants pleins de vie et de talents. Ne reste qu'à donner au peuple du Québec de tous ses terroirs d'autres occasions de voter en ces faveurs.
L'auteur est artiste-peintre dans la région de Québec. Il réagit à la chronique Star Intoxication, de Nathalie Petrowski, publiée dans La Presse du 15 avril.

Publié le 17 avril 2009 à 09h58 | Mis à jour à 10h01
William, l'académicien plessisvillois rentre au bercail

William Deslauriers
Archives La Presse
Yanick Poisson
La Tribune
(PLESSISVILLE) William Deslauriers est de retour chez lui après plus de deux mois d'exil en terre sainte-adéloise au cours desquels il a eu l'occasion de vivre l'expérience Star Académie, une expérience qui n'a pas changé le jeune homme.
«Je peux voir que la vie a changé, les gens me reconnaissent dans la rue, des inconnus me saluent. Il y a trois mois, mon but était d'avoir assez d'amis pour remplir les divans du salon, maintenant le salon commence à être pas mal grand. Moi, pendant ce temps-là, je reste le même et c'est ce qui est le plus important», a-t-il indiqué.
Fraîchement revenu à Plessisville, l'auteur-compositeur-interprète a eu l'occasion de renouer avec les parents les plus fiers du monde, ceux-là mêmes qui l'ont encouragé et qui l'ont représenté dans la région de l'Érable tout au long de l'aventure. La mère du jeune homme, Isabelle Richard n'oubliera jamais les émotions que son fils lui a fait vivre au printemps 2009. «On a reçu de la chaleur au truck. Je n'avais jamais vécu autant d'émotions en aussi peu de temps. Une chance que ça n'a pas duré un an», a-t-elle dit.
Le Plessisvillois entend se servir de l'expérience Star Académie comme d'un tremplin pour donner le coup d'envoi à sa carrière. Il a déjà trois chansons complétées et il entend négocier avec ses nouveaux partenaires afin d'enregistrer un premier album dès que la tournée visant à promouvoir le disque de Star Académie 2009 sera terminée. Chose certaine, son premier album n'aura rien à voir avec ce qu'il a fait à la télévision; il est important pour lui de conserver un style qui lui est propre.
«La plus belle claque sur la gueule qu'il m'a été donné de recevoir à l'académie, c'est lorsque Michel Rivard et Patrick Huard m'ont dit que j'avais trouvé ma couleur et que c'était correct que je fasse mes choses à moi, a affirmé William. J'étais déstabilisé par ce que je faisais là-bas. Je ne me considère pas comme un chanteur. On m'a dit de Williamiser tout ce que je faisais et c'est ce que j'ai l'intention de faire.»
Un « héros plessisvillois «
Présent pour accueillir son illustre citoyen, le maire de Plessisville, Jacques Martineau, n'a pas ménagé les louanges. Il a indiqué que le passage de William à l'académie avait été un plus pour toute la communauté et avait permis une visibilité hors du commun. «Ce n'est pas arrivé souvent dans ma vie politique de rencontrer un héros plessisvillois. Il est rapidement devenu un modèle pour notre relève par sa façon d'affronter les embûches. C'est un être durable, à l'image de sa région», a mentionné l'élu.
Afin de témoigner de la gratitude de la municipalité et d'inciter le jeune homme à demeurer en région, M. Martineau lui a remis, au nom du conseil, un chèque-cadeau de 1000$ échangeable dans les magasins de Plessisville.
http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/arts-spectacles/200904/17/01-847517-william-lacademicien-plessisvillois-rentre-au-bercail.php